La fin de la guerre froide

En mars 1985, Mikhaïl Gorbatchev arrive au pouvoir après la mort de Brejnevet de ses successeurs Andropov et Chernenko. Très vite Mikhaïl Gorbatchev montre sa détermination à tirer des leçons de la course aux armements et à l’espace et de l’inertie de la bureaucratie qui ont plongé le pays. Il décide qu’à l’intérieur se sera « perestoïka »et « glanost » ; et à l’extérieur une nouvelle détente, vraiment nécessaire car le président Reagan s’est mis dans la tête de se préparer à une apocalyptique « guerre des étoiles » contre laquelle Moscou serait hors d’état de faire face.
En Allemagne de l’Est, la population prend de plus en plus mal son parti de la grisaille et de la pauvreté, à force de regarder les émissions de télévision de l’Ouest. D’autant plus que ce régime de pauvreté est totalement imperméable au vent de la perestroïka. Maintenant grâce au démantèlement du rideau de fer entre la Hongrie et l’Autriche, un sas est ouvert et il permet de fuir la R.D.A. sans risquer sa vie. Des dizaines de milliers de personnes s’y engouffrent tandis que les manifestations dans les rues de Dresde, de Berlin-Est ou de Leipzig réclament la destruction du MUR. En octobre 1989, Gorbatchev vient pour les faites du quarantième anniversaire de la R.D.A. et il fait savoir qu’en aucun cas l’Armée Rouge ne participera à une éventuelle répression. Une attitude contraire n’aurait contribuer qu’à lui faire perdre en un instant tous les bénéfices de son rapprochement avec l’Occident. Un processus est en route et va rapidement condiure à la réunifications de 2 Allemagnes ainsi qu’à la réconciliations des 2 Europes.

Le 9 novembre 1989, le MUR est ouvert let la R.D.A. de plus en plus vidée de sa substance n’a plus qu’a aller se jeter dans les bras de République Fédérale.