"Christina Irimie, roumaine, est arrivée au Royaume-Uni il y a sept ans, âgée de 16 ans, pour y terminer ses études. Elle est aujourd'hui rédactrice en chef du quotidien Roman in UK (Roumain au Royaume-Uni). Elle réagit à la politique migratoire restrictive récemment adoptée par Londres à l'égard des Bulgares et des Roumains, à quelques mois de l'adhésion de ces deux pays à l'UE. "En 2004, nous espérions que l'Europe et le Royaume-Uni seraient heureux de nous voir rejoindre l'Union européenne (UE) en 2007. Nous croyions que nous serions traités avec respect et pourrions bénéficier des mêmes droits que les autres membres de l'UE. Maintenant, nous nous sentons traités comme des citoyens de "seconde classe.(...)L'approche défendue par John Reid, le ministre de l'Intérieur britannique, exclut pratiquement tous les types de travailleurs. Les rares permis de travail disponibles en janvier ne sont destinés qu'aux personnes les mieux formées. Ces permis ne sont d'aucune aide. Les chiffres démontrent que les emplois recherchés par les Roumains sont dans d'autres secteurs, particulièrement l'agriculture".""
lire plus de ce résumé sur "Les Roumains de Grande Bretagne se montrent decus", sur
Courier International (reprennant Eurotopics)
ou lire l'article original du The Guardian , ici
ou sa traduction en Roumain, ici (c'est le 5eme article, "Cetateni de mana a doua")
Un autre extrait,:
'En tant que roumain habitant en Grande Bretagne, il vient un moment quand on se sent fatigué. Fatigué essayant de changer, tout seul, l'image de ton pays, tu fatigues d'etre regardé avec de la superiorité a cause seulement de ta nationalité"
(traduit par Olahus
)
Et, de nos voisins de Sud:
"Maglena Kuneva, responsable des négociations sur l'adhésion de la Bulgarie à l'UE et future commissaire européenne de son pays, est déçue de voir que la plupart des pays d'Europe de l'Ouest cherchent à se protéger de la main d'oeuvre bulgare. Dans une interview conduite par Stefan Hudec, elle explique que "la liberté de circulation des travailleurs fait partie des piliers de l'UE. D'un côté, nous voulons améliorer notre compétitivité et, de l'autre, nous nous fermons mutuellement la porte au nez."
lire entierement cet extrait du Courier International qui resume un article de Sme, Sovaquie