Bien oui Pipacs.
Ni ici ni sur Hulala, personne n’a commenté cette vidéo officielle mais douteuse. Quel réconfort!
Par contre l’article de Marianne 2 est intéressant et mériterait débat.
Débat, disais-je
Les petits villages reculés, là où les Tsiganes vivent ghettoïsés.
Dans ces petits villages et parfois dans ces ghettos sans village (exemple les écuries du château abandonné de Fenékpuszta dans les faubourgs de Keszthely) les autorités savent compter et les comptes sont fait depuis longtemps mais il faut alimenter les statistiques pour que l'Europe alimente à son tour.
« Nos femmes et nos filles se teignent les cheveux en blond pour ressembler aux gadjé, les hommes jettent le nom de leur père car il sonne trop tsigane, nos intellectuels abandonnent nos traditions parce qu'ils en ont honte », dénonce Béla Radics ;
Certaines se teignent et tous s’appellerons bientôt Kiss ou Nagy mais un voisin de me dire « regardes Ferenc (hongrois de souche) comme ses yeux sont entourés de noir, sa grand-mère… »
Lors du dernier recensement de 2001, moins d’un tiers des Roms s’était déclaré rom : 190 000 alors que les recherches sociologiques font état de 600 000 à 800 000 individus.
Je pense (et ceci n’engage que moi) que le nombre de roms doit avoisinés le million en pays magyar et si le gouvernement doit attendre des subsides, le recensement en comptera encore bien plus…
La « tsiganitude » elle-même n’existe pas.
Depuis le temps si les tsiganes avaient du revendiquer, ils auraient un bras armé.
Zs.