Moi, ce qui m'étonne, c'est que cette situation vous étonne.
Dès 1989, la chute du Rideau de Fer (amorcée comme on le sait par la Hongrie, avec la coopération de l'Autriche) et du Mur de Berlin, plongeait la Hongrie dans un système tout neuf qui mettait au monde deux classes totalement opposées : ceux qui s'étaient constitués des richesses dérobées souvent sur les avoirs communistes (entreprises, usines...) et une classe de superpauvres qui verrait fondre comme peau de chagrin le peu qu'elle possède.
Pour avoir une petite idée de la première catégorie des nouveaux riches, montez à pied (c'est pas très long) le Mont Gellért comme fait le bus 27. Vous verrez ainsi où certains se nichent.
L'autre cétégorie, vous les entendrez partout se plaindre que tout augmente, sauf les salaires, et qu'il faut en effet un 2ème et un 3ème job pour s'en sortir quelque peu.
Il faut se dire que si la Hongrie est dans l'Union Européenne, elle doit s'attendre à partager le sort de tous les autres pays de l'Union. Il n'y a pas si longtemps, on délocalisait en France et en Belgique pour s'installer en Hongrie. Ex. Caterpillar à Gödöllõ. Aujourd'hui, on délocalise en Hongrie devenue un peu trop cher pour que la actionnaires engrangent de plantureux bénéfices.
Heureux ceux qui peuvent atteindre l'âge de la pension, avec laquelle ils peuvent vivre ou survivre.
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un article du 'petit journal de Budapest:, ça fait peur 
C'est le prix d'un loyer charges comprises (électricité, gaz et eau)
voui c'est inconcevable et encore la Hu , n'est pas dans l'espace Euro, quand on voit et analyse le problème de dégradation de niveau de vie, pas seulement dans les plus défavorisés en France, mais juste la classe tranquille moyenne, je m'interroge beaucoup et m'effrais énormément Le travail au noir, le deuxième , voire troisième boulot est encore très pratiqué en Hu?,