De nombreux pays ont suivi de près la situation dans les banlieues en France et les évènements qui s'y sont déroulés. Je ne rentrerai pas içi dans la politique de savoir qui a raison et qui a tort, quoique j'ai ma petite idée la dessus ( si seulement on pouvait faire un charter vers la Hongrie pour expulser un indésirable de France....)...
Certains pays d'Europe de l'Est et d'Europe centrale se sont inquiétés des évèmements et de leur gravité, reflétant un malaise social indéniable et récurent. lls sont nombreux ces pays a s'accorder a dire qu'ils ne sont pas a l'abri des pareils évènements, mais ils ne seraient pas dûs chez eux aux problèmes d'imigration, mais de problèmes internes.
Je m'explique : ces pays (désolé j'ai eu cette info il y a plusieurs jours et ma mémoire me fait défaut pour vous les citer) s'accorde a dire que la révolte pourrait venir de la communauté Tzigane si les différents gouvernements successifs s'obstinent à laisser les choses en l'état, à les mépriser, à les laisser pour compte, à ne les intégrer dans quasiment aucun programme d'aide.
Les problèmes qu'a connu la France ces dernières semaines auraient ils réveillé des consciences, seront ils un catalyseur pour d'autres pays où les minorités laissées pour compte risque d'exploser face aux injustices sociales et au délit de sale gueule ? J'espère vraiment que cela puisse être vrai et qu'enfin chaque homme de chaque pays puisse avoir les mêmes droits.
Pour l'anecdote (qui n'a rien de drôle) j'attendais il y a quelques mois une amie a l'aéroport de Budapest, et il y avait comme dans tous les aéroport du monde des patrouilles de police. Un groupe de 4 hommes et 3 femmes attendait visiblement quelqu'un qui arrivait par le même vol que celui de mon amie. La patrouille de police n'a controlé que ce groupe de personne et plus précisement les hommes, leur prenant leur papier pour faire a priori des vérifications pointues et les policiers étaient a la limite de l'irrespect et du mépris. Le seul "défaut" de ce groupe de personnes..... être Tzigane. Ca se passe en 2005 à Budapest.
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