Forum sur l'amitié entre les peuples d'Europe Centrale et d'Europe Orientale
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 le mythe des vampires en Europe de l'est

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caroslo
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MessageSujet: le mythe des vampires en Europe de l'est   le mythe des vampires en Europe de l'est Empty09.05.06 11:27

le mythe des vampires en Europe de l'est Sourire1
fait suite au post https://centraleasteurope.1fr1.net/viewtopic.forum?p=2974#2974) sur la comtesse sanglante.

Le mythe du vampire en Europe de l’ est


Les noces d'Elisabeth Bathory, la comtesse sanglante ont eu lieu 8 mai 1575. Les nouveaux époux s'en allèrent passer leur lune de miel dans le château de Csejthe, dans le district de Nitra( région où j’ habite… ), région montagneuse du nord-ouest de la Hongrie, territoire de Slovaquie de nos jours, célèbre aujourd'hui par la qualité de ses vignobles ( la route des vins des petites Carpates Malokarpatskej vínnej ceste le mythe des vampires en Europe de l'est Alcooli3 ) , mais aussi pour ses châteaux forts en ruines, ses histoires de fantômes et ses traditions vivaces de vampires et de loups-garous affraid .

C’est en Europe de l’est que naît le mythe des vampires. D’ ailleurs le terme de "vampire" ( "vampyre" issu du "oupir" en russe, dragon ou diable) aurait fait sa première apparition officielle dans les années 1725-1726 en Hongrie, dans un rapport fait par les autorités autrichiennes à propos d'un paysan nommé Peter Plogojowictz, accusé d'être réapparu après sa mort et d'avoir causé le décès de huit personnes dans son village natal de Kizilova.
Mais le fantasme du mort-vivant suceur de sang remonte aux origines de l'humanité. On en retrouve les premières traces dans certaines reliques préhistoriques, on le retrouve dans la mythologie babylonienne, dans l'Ancien Testament, en Chine (Ch'ing Shih), chez les Indiens (le Vétala), Malais (Pennaggalam), les Aztèques (le Dieu Tezcatlipoca, protecteur des vampires) Polynésiens et Esquimaux, dans la Grèce (vrykolakas) et la Rome antiques, etc.

L’ Europe centrale en tout cas regorge de créatures infernales censées réapparaître sur terre une fois par an. La mythologie européenne du vampire se développe au XIè siècle, associant christianisme et les autres croyances paÏennes, dans un contexte de guerres de religion, raids de pillards, chasses aux sorcières puis s'accroît au XVIe siècle avec les grandes épidémies de peste ou de choléra qui se succèdent ... à cette époque chaotique, les enterrés vivants n'étaient pas rares, par crainte de contagion. Ajouté à l'analphabétisme des habitants, qui vivants coupés du monde, étaient particulièrement superstitieux, alors que plus à l'Ouest, la Raison et l'Inquisition laissait moins de place à un folklore vivant. Les différences de mentalité se faisaient sentir dans le comportement face aux morts. Là où les Orthodoxes voyaient, dans les cadavres non décomposés, une marque diabolique, les Catholiques y voyaient une marque de Sainteté.

En 1552, une « réforme » officialise le vampire, et donne les moyens de le détruire, et ce, afin de prévenir sa prolifération. L'Eglise Catholique Romaine, à qui la question a été posée, va répondre que les vampires sont, selon elle, des excommuniés, à qui Dieu refuse le repos éternel de l'âme. Les symboles de la foi sont alors des armes contre eux.

A la fin du XVIIè siècle, la peur du vampire frise la paranoia collective en Europe de l'Est.... Des textes rapportent que l'évêque d'Olmütz en Moravie, devant la multiplication des plaintes des villageois de la région, mit sur pied des commissions d'enquêtes. Ces dernières recueillaient les témoignages, exhumant les corps suspecté de maléfice nocturne et procédaient à leur examen. En cas d'absence de signe de corruption charnelle, les corps étaient soumis à une procédure judiciaire au terme de laquelle ils étaient livrés au bourreau pour être exécutes suivant un rituel particulier : Après leur avoir planté un pieu en plein coeur et coupé la tête, les restes étaient brûlés et les cendres dispersées. Ces commissions étaient généralement formés d'autorités ecclésiastiques, militaires, judiciaires et médicales. Plus de 2 000 ouvrages sur la sorcellerie sont écrits entre le XVIe et le XVIIe siècle. La plupart par des prètres ou des moines.

Ce type de procès aux défunts se multiplièrent au début du XVIII eme siècle en Europe centrale et orientale.
C'est l'Abbé benedictain Dom Augustin Calmet qui synthétise le mieux les préoccupations en rassemblant nombre de témoignages et de compte rendus dans son " Traité sur les apparitions des anges, des démons et des esprits et sur les revenants, et vampires de Hongrie, de Bohème, de Moravie et de Silésie " Comme les cas de vampirismes étaient rares en France, les récits lui venaient de Russie, de Slovaquie, de Hongrie, de Pologne…

Lettre d'un fort honnête homme et fort instruit de ce qui regarde les revenants

Mon cher cousin,
Vous souhaitez être informé au juste de ce qui se passe en Hongrie au sujet de certains revenants, qui donnent la mort à bien des gens en ces pays là. Je puis vous en parler savamment, car j'ai été plusieurs années dans ces quartiers là, et je suis naturellement curieux. J'ai ouï en ma vie raconter une infinité d'histoires ou prétendues telles, sur les esprits et les sortilèges, mais de mille, à peine ai je ajouté foi à une. On ne peut être trop circonspect sur cet article, sans courir le risque d'en être trop dupe.
Cependant il y'a certains faits si avérés qu'on ne peut dispenser de les croire. Quant aux revenants de Hongrie voici comment la chose s'y passe.
Une personne se trouve attaquée de langueur, perd l’appétit, maigrit à vue d'oeil, et au bout de huit ou dix jours, quelquefois quinze, meurt sans fièvre ni aucun symptôme que la maigreur et le dessèchement. On dit en ce pays là que c'est un revenant qui s'attache à elle et lui suce le sang. De ceux qui sont attaqués de cette maladie, la plupart croient voir un spectre blanc qui les suit partout, comme l'ombre fait corps. Lorsque nous étions en quartier chez les Valaques dans le Banat de Temesvar, deux cavaliers de la compagnie dont j'etais cornette, moururent de cette maladie et plusieurs autres, qui en étaient encore attaqués en seraient morts de même, si un caporal de notre compagnie n'avait fait cesser la maladie en exécutant le remède que les gens du pays emploient pour cela. Il est des plus particuliers et quoique infaillible, je ne l'ai jamais lu dans aucun rituel. Le voici :
On choisit un jeune garçon qui est d'âge à n'avoir jamais fait oeuvre de son corps, c'est a dire qu'on croit vierge.
On le fait monter à poil sur un cheval entier qui n'a jamais sailli, et absolument noir, on le fait promener dans le cimetière et passer sur toutes les fosses ; celle où l'animal refuse de passer, malgré force coups de cravache qu'on lui délivre, est réputée remplie de Vampires ; on ouvre cette fosse, et l'on y trouve un cadavre aussi gras et aussi beau que si c’était un homme heureusement et tranquillement endormi ; on coupe le col du cadavre d'un coup de bêche, dont il sort un sang des plus beaux et des plus vermeils et en quantité. On jurerait que c'est un homme des plus sains et des plus vivants qu'on égorge. Cela fait, on comble la fosse, et on peut compter que la maladie cesse et que tout ceux qui en étaient attaqués recouvrent leurs forces petit à petit, comme gens qui échappent d'une longue maladie et qui ont été exténués de longue main.

Augustin Calmet, Extraits de Dissertation sur les apparitions des esprits, 1751de 1751.
Antoine Calmet. (né en 1672 à Commercy… tiens, c’est un lorrain ! tongue ). Intervient pour le compte de l’Eglise catholique et consigne ainsi toutes les légendes relatives au vampirisme. Sa conclusion est limpide: à ses yeux, les vampires sont le fruit de l’imagination débordante des prétendues victimes...
Le bénédictin essaiera de donner une explication scientifique au phénomène des vampires, comme, par exemple, le fait que les substances chimiques contenues dans le sol, pouvaient, selon lui,conserver indéfiniment les cadavres.

De nombreux intellectuels se penchèrent sur cet inquiétant problème.
Finalement, la croyance aux vampires succombe à l'émergence de la société industrielle qui fait table rase des antiques superstitions.
Une hypothèse très scientifique est même avancée pour expliquer la présence si forte des légendes vampiriques en Europe de l'Est ... on observa que la maladie décrite par Calmet , réunissant les symptômes de l'état vampirique, était particulièrement courante en raison des mariages consanguins : c'était la Porphirie, maladie congénitale du sang très complexe qui se manifeste ainsi :
(d'après les travaux de David Dolphin, professeur de biochimie à la British Columbia University en 1985) :
• Une pâleur cadavérique due à une pénurie d'hémoglobine dans le sang et aux médecins qui préconisent de vivre dans l'obscurité
• Une pilosité abondante
• Une déformation des dents Les dents et les lèvres sont aussi couleur pourpre due aux dépôts de porphyrines (substance due à la perte d'hémoglobine)
• Sensibilité accrue au soleil (Lorsque le corps des malades est exposé au soleil, la molécule de porphyrine reçoit l'énergie solaire et la convertit en une énergie toxique pour les cellules corporelles. Donc, les parties les plus exposées au soleil, soit la peau, sont les plus vulnérables à ce genre d'attaque.)
• L'ail provoque des crises chez le malade (cette plante contient un composant chimique qui agit malencontreusement avec plusieurs enzymes du foie - très douloureux pour les personnes atteintes de Porphyrie)
• Troubles neuropsychiatriques : Ceux qui sont atteints de porphyrie deviennent parfois très violents et irritables. Mais contrairement au vampirisme, la porphyrie n'est aucunement transmissible, comparativement à des maladies comme le sida.
Le traitement valable de la maladie était la saignée, dont les malades contrebalançaient les effets avec du sang de boeuf (un shéma d'extraction-absorption qui reflète le mécanisme vampirique)

Le vampire se réfugie donc dans le domaine de l'imaginaire, il devient source d'inspiration littéraire. En 1819 Lord Byron signe un récit intitulé "TheVampyre", qui remporte un considérable succès ... En 1872, Joseph Sheridan Le Fanu publie la nouvelle "Carmilla", très inspirée de la comtesse sanglante Bathory, roman qui fixe les grandes lignes de ce genre de roman, à savoir ses lieux, ses personnages, ses ambiances, son érotisme.
C'est sur cette base, et à partir d'une documentation sur l'histoire et le folklore d'Europe centrale, que Bram Stoker écrit son "Dracula" ...Il utilise un personnage réel – Vlad Tepes-pour le mettre dans la peau du buveur de sang que l’ on connaît bien.
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caroslo
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MessageSujet: Re: le mythe des vampires en Europe de l'est   le mythe des vampires en Europe de l'est Empty09.05.06 11:29

Vlad Tepes dit "l'empaleur" est issus de la dynastie des Basarab, une famille qui porte le nom des Drăculea Il est prince de Valachie en 1448, puis de 1456 à 1462 et en 1476) ( pour situer, la Valachie plus la Moldavie ont donné la Roumanie1859 )
Sa vie et ses actions s'inscrivent dans le contexte extrêmement mouvementé du milieu du XVe siècle pour l'Europe de l'est. Le Saint-Empire romain germanique et les pays chrétiens d'Europe de l'ouest, en particulier les royaumes d'Autriche, de Hongrie et de Pologne sont sérieusement menacées par la poussée de l'Empire ottoman, qui vient de faire tomber définitivement l'Empire Byzantin avec la chute de Constantinople le 29 mai 1453. Les régions qui se situent entre les deux empires constituent le dernier rempart de la Chrétienté (catholique et orthodoxe) contre les Musulmans, et sont le théâtre de batailles acharnées. Les sultans consolident leur contrôle sur Constantinople, renommée Istanbul et assiègent les Balkans, jusqu'à se rendre maîtres de la plus grande partie de cette région, futurs États modernes comme la Serbie, la Hongrie, la Roumanie, la Bulgarie, l'Arménie, et la Grèce, pour être finalement arrêtés aux portes de Vienne.

Le surnom de "l'Empaleur" est né du fait que le prince se débarrassait de ses ennemis en les empalant vivants sur des pieux. On raconte qu'il prenait ensuite un plaisir sans retenue à faire le récit du spectacle morbide du pal et qu'il aimait se nourrir au milieu des victimes agonisant sur les pieux. (on ne sait si c'est véridique, mais de nombreuses histoires russes relatent ces faits ) En 1476 après plusieurs années de règne Vlad Dracula est tué sans que l'on sache exactement qui est à l'origine de sa chute (on raconte que c'est son propre camps, le prenant pour un Turc, qui lui infligea la mort). Il est décapité et sa tête est plantée à l'extrémité d'une pique. Son corps est enterré au couvent de Snagov.
Cette popularité s'est vraiment propagée avec la diffusion du personnage de Dracula, inventé par Bram Stoker pour son roman en 1897. Ce roman ne se base pourtant pas directement sur le règne cruel de Vlad Ţepeş. C'est une fiction censée se dérouler en Transylvanie et en Angleterre au XIXe siècle. Néanmoins, en raison de son règne sanglant, Vlad Ţepeş Dracula a été immortalisé par Stoker sous la forme d'un vampire assoiffé de sang. L'image de la Roumanie, par le biais de Vlad Ţepeş, est maintenant associée pour lontemps au comte vampire Dracula. ( on envisageait même un DraculaPark…un coup oui, un coup non…où en est le projet ?)Au début de notre siècle, sa tombe est ouverte et, à la surprise générale, elle se révèle vide !!!. La légende rejoint ainsi le personnage.
Site (très documenté) sur Vlad Tepes

De ces croyances des fêtes sont demeurées, comme en Alsace Lorraine, en Allemagne ou en Autriche :
La nuit de la Saint-André , qui a lieu dans la nuit du 30 novembre, la nuit de Walpurgis (sorcières et démons se réunissaient cette nuit-là au Blocksberg, point culminant du massif du Harz (1142 m), en Allemagne). ou" Weinhexennacht ( En Bavière) ou la nuit des sorcières ( chaque année à Prague par exemple et autrefois dans certains villages français , -chez moi en Moselle- …) dans le nuit de la Saint Philipe et Saint Jacques du 30 avril au 1er mai.
On joue des tours cette nuit là. Notamment, retirer les volets ou certaines portes de leurs gonds et les cacher un peu plus loin, déplacer tout ce qui est resté dehors, bancs, pots de fleurs, démonter certains objets et les placer sur les toits. S’ ajoute parfois la tradition des arbres de mai dont on à parlé à l’ occasion du premier mai, arbres qu’on installe devant les portes des filles à marier.Quelques semaines plus tard, la sorcière responsable de tout ce bazar est jugée et brûlée sur un bûcher( ce qui correspond aussi aux traditions des feux de la saint Jean.)
A l’ origine de cette tradition, semble-t-il, on considérait que la nuit de la St Philippe à la St Jacques était une des nuits magiques où les forces du mal ont une puissance supérieure aux autres nuits. et pendant laquelle toutes les créatures de l'enfer, et en particulier les vampires, peuvent prendre corps et se livrer à d'épiques batailles aériennes dont l'issue peut apporter la prospérité au pays, ou à l'inverse, les pires épidémies.A minuit, où les forces du mal devaient nuire aux gens, on pouvait trouver de nombreux trésors. Afin de protéger les chercheurs des forces maléfiques, on devait porter sur soi une fleur de fougère, une craie bénie, une hostie et d’autres objets. Les gens croyaient qu’un grand nombre de sorcières volaient dans les airs, se rassemblant pour le sabbat. Avant le sabbat, les sorcières s’enduisaient de pommades magiques qui leur permettaient de voler. Pour se protéger des sorcières, on brûlait des feux sur des endroits élevés qui datent, dans certaines régions, des temps très anciens.

A Bojnice en Slovaquie, les esprits et les fantôme se réunissent au château pour un festival international !

Les vampires, mythe ou réalité ? Qui sont les vrais vampires ? une réponse dans le Dictionnaire philosophique de Voltaire ?
« On n’entendait point parler de vampires à Londres, ni même à Paris. J’avoue que dans ces deux villes il y eut des agioteurs, des traitants, des gens d’affaires, qui sucèrent en plein jour le sang du peuple; mais ils n’étaient point morts, quoique corrompus. Ces suceurs véritables ne demeuraient pas dans des cimetières, mais dans des palais fort agréables. » Wink

En tout cas, attention ! si vous rencontrez un vampire, n’ essayez pas de l’ éloigner avec de l’ ail tressé ! J’ ai appris que contrairement aux idées reçues, ça ne marche pas ! Il faut de l ‘ ail ordinaire, une plante à bulbe de la famille des liliacées, et ce sont ces fleurs, d’ un blanc sale qui font fuir les vampires assoiffés de sang !

le mythe des vampires en Europe de l'est Dracula4dm


http://www.heresie.com
http://fr.wikipedia.org
http://www.chez.com/geso/DEMONOLOGIE/walpurgis.htm
http://www.j-habite-en-roumanie.com/2003/jet03/art0701.htm
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olahus
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MessageSujet: Re: le mythe des vampires en Europe de l'est   le mythe des vampires en Europe de l'est Empty22.09.06 14:03

Un bon article sur "Dracula, monstre ou heros" par un historien francais specialiste en Europe Centrale et Orientale

"Depuis qu'en 1897 l'écrivain anglais Bram Stoker a publié sa nouvelle intitulée Dracula, ce prince est devenu dans l'opinion publique la représentation d'un vampire qui vivait au XVe siècle dans les forêts de Transylvanie. Comme son appellation traditionnelle était celle de Vlad l'Empaleur, la combinaison des deux éléments en fit un des plus terribles « monstres » de l'histoire. Or il existe parmi les historiens roumains une tradition différente, celle d'un prince sévère mais juste, qui travailla à la grandeur de son pays. "

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